C'est drole c'est images qui passent

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en travaux

 

 

 

Historique 

Matériel nécessaire

Le transceiver

 

Ordinateurs et interfaces 

L'interface  

Les logiciels 

ROY 1 

GSH-PC 

JV-FAX 

Proskan 

Vester program 

Ordinateurs et cartes son

Win95SSTV

 Chromapix

Winpix Pro

 Sound Blaster SSTV 

Considération techniques

  

Principes de base de la transmission d'images

 

De l'image à la radio et vice-versa

 

Du noir/blanc à la couleur

 

Les protocoles

 

Fréquences générales

 

 

 

Et voila un nouveau mode est né

SSTV est l’abbréviation de Slow Scan Television (en français: télévision à balayage lent) par opposition à l’abbréviation FSTV (Fast Scan Television - télévision à balayage rapide) plus connue sous le nom d’ATV (Amateur Television). Le principe fondamental de la SSTV est de permettre aux radio-amateurs de transmettre des images fixes à l’aide d’une bande passante réduite correspondant à celle de la parole. De ce postulat émergent les disparités élémentaires qui différencient la SSTV de l’ATV dans le domaine technique et, par conséquent, dans le domaine du matériel nécessaire pour être qrv dans l’un ou l’autre mode...

L’histoire de la SSTV commence en 1957 lorsque Copthorne MacDonald (OM depuis 1951 et étudiant à l’école d’ingénieurs de l’université du Kentucky) feuillette le Bell System Technical Journal dans la bibliothèque de son école. Il y trouve un article relatif à des expériences de transmission par le biais d’une simple ligne téléphonique. Pour la première fois, Copthorne se rend compte que “transmission d’images” n’est pas forcément synonyme de très “très large bande passante”! Une idée germe aussitôt dans son esprit d’OM ingénieux: pourquoi ne pas exploiter ce principe dans une optique radio-amateur?


Copthorne McDonald VY2CM

Avec l’aval du directeur de l’école, Copthorne intègre son projet dans le cours de ses études et profite du matériel disponible dans les ateliers. La conception dure six mois, avec pour Copthorne l’angoisse constante de voir surgir une complication inattendue et fatale. Mais rien de tout cela ne se produit: le système fonctionne!
Les premiers tests se déroulent sur 11 mètres (la bande CB actuelle). Copthorne ne possédant qu’un seul équipement SSTV (et pour cause: il n’en existe pas d’autre!), il enregistre des échantillons d’émission sur cassette audio et les retransmet sur l’air, les résultats s’affichant sur un écran à rémanence (nous sommes en 1957!)
Motivé par sa réussite, Copthorne propose son projet en 1958 au concours pour étudiants de l’American Institute of Electrical Engineers (aujourd’hui plus connu sous l’abbréviation IEEE) et remporte le premier prix.
La SSTV apparaît officieusement dans le monde des radio-amateurs au travers des éditions d’Août et de Septembre 1958 du magazine QST.
Il faudra attendre 1968 pour que la SSTV soit officiellement autorisée sur les bandes HF...

Matériel nécessaire

Bien que la SSTV existe depuis plusieurs décennies, elle a toujours été quelque peu boudée par les radio-amateurs à cause des coûts importants qu’elle implique et de la complexité technique rendant difficile une conception “home made”... Cette situation pourrait cependant changer du tout ou tout durant les mois à venir. En effet, la démocratisation de l’informatique permet l’implantation des ordinateurs dans un nombre sans cesse croissant de foyers, à plus forte raison dans les repères mystérieux de radio-amateurs toujours à la pointe du progrès technologique! Bonne nouvelle pour ces derniers: l’ordinateur remplace aujourd’hui à très bon compte les équipements SSTV complexes et onéreux de l’époque!
E t avec le développement de l'informatique ,il n'est plus nécéssaire d'utiliser une interface ,car le systéme de votre carte son permet de sans passer ,alors pourqu'oi pas tenter .A mon avis les résultats sont supérieur en réception comme qualitée d'image cela n'a rien a voir .

Le transceiver

Qu’il s’agisse d’un transceiver ondes courtes, VHF ou UHF, en mode SSB ou FM, cela n’a aucune importance! La SSTV utilisant une bande passante réduite de l’ordre de 3 kHz, tous les appareils utilisables en phonie peuvent transmettre de la SSTV. Evidemment, l’utilisation de TX anciens (par exemple dépourvus de filtres) risque de poser quelques problèmes, notamment quant à la qualité des images...

 

Ordinateurs et interfaces

L'interface

Il s’agit du seul élément spécifique à la SSTV qu’il faudra se procurer ou, mieux, construire soi-même (à moins bien sûr que vous ne préfériez l'option Ordinateurs et cartes son). Cette interface joue simplement le rôle d’interprète entre deux unités qui n’ont pas été conçues pour se comprendre, à savoir le transceiver d’une part et l’ordinateur d’autre part. Cette interface se décline en différents modèles présentant généralement des caractéristiques similaires. Le modèle HAMCOM est bien implanté en HB9 et donne d’excellents résultats.

Les logiciels

ROY1 (par Luigi Maggi IK8BZA)

ROY 1 est un nouvel ensemble SSTV logiciel et matériel développé par Fontana Software et IK8BZA. Le logiciel tourne de manière parfaitement multitâche sous Windows 95. Le matériel consiste en une interface DSP basée sur deux microprocesseurs. Cette interface est disponible sous forme de kit ou prête à l'emploi. L'interfaçage avec l'ordinateur se fait via le port RS-232.
Caractéristiques:

Prix:
interface prête à l'emploi et logiciel: 270 dollars
interface en kit et logiciel: 75 dollars
Disponible auprès de Luigi Maggi IK8BZA, Via Guarino 60, Avellino, 83100 (Italie)

GSH-PC (SAW-SCAN) SSTV CONVERTER (par Geza Szabados-Hann DL4SAW)

GSH-PC est un logiciel conçu pour transmettre et recevoir des images SSTV. Ce logiciel n'est pas un décodeur multimode FAX/RTTY/PACTOR/etc. Il a été conçu spécifiquement pour la SSTV.

Caractéristiques:

Configuration informatique nécessaire:
Ce logiciel fonctionne sur des PC MS-DOS avec au moins 640 KB de mémoire. Il requiert une carte graphique VGA 1MB supportant la résolution 640x480 mode VESA, 15, 16 ou 24 bits par pixel (modes VESA 272, 273 ou 274). Nous suggérons d'utiliser au moins un processeur 386DX avec une carte VLB-VGA. La résolution des couleurs est, selon la mode VESA, de 32K, 64K ou 16M de couleurs par pixel. La meilleure résolution disponible sera automatiquement choisie. Au moins 1 MB de mémoire étendue est nécessaire (de préférence 4 MB).
GSH-PC est un logiciel shareware.

JV-FAX (par Eberhard Backeshoff DK8JV)

JVFAX est un logiciel multi-mode conçu pour la réception de cartes météorologiques et de fax. Pour les radio-amateurs, il existe une option supplémentaire de transmission pour le FAX et des possibilités d'émission/réception en SSTV.

Caractéristiques:

Configuration informatique nécessaire:
Un PC compatible IBM 286 ou supérieur avec un DOS 3.0 ou supérieur, une carte graphique VGA ou SVGA 16 ou 256 couleurs.

EBERHARD BACKESHOFF
OBSCHWARZBACH 40A
D-40822 METTMANN
GERMANY

Proskan (par KA1LPA)

Proskan est un logiciel SSTV gérable à la souris.

Caractéristiques:

Configuration informatique nécessaire:
Un PC compatible IBM 386DX-33MHz ou supérieur, carte graphique SVGA 640x480 de 256 à 64K couleurs, DOS 4.0 ou supérieur.
Proskan est un logiciel shareware.

Maynard A. Philbrook jr.
520 Pleasant St.
Willimantic, CT 06226
1-(203)-456-1167 or 1-(203)-456-2521 as of this writeing.

Vester program (par Benn Vester K3BC)

Le système Vester est un autre bon logiciel SSTV conçu pour les personnes intéressées par la programmation BASIC. Si vous êtes quelque peu familier avec le BASIC, vous apprécierez les excellents résultats que ce programme fournit. Benn Vester est connu pour son excellent travail dans le domaine des softwares FAX tels que FAX480. Ce programme utilise une interface très semblable à celle du programme JVFAX. En fait, un simple switch SPDT vous permettra d'utiliser les deux. Vester est également shareware et disponibles sur les BBS radio-amateur telles que la BBS de l'AARL.

BEN VESTER
4921 BONNIE BRANCH ROAD
ELLICOTT CITY, MD
21043

Ordinateurs et cartes son

Win95SSTV (par Jim Barber N7CXI et William Montgomery VE3EC)

Win95SSTV est un logiciel SSTV spécifiquement écrit pour les ordinateurs utilisant Windows 95 / 98 ou Windows NT (3.51 ou suivant). Il utilise la carte son de l'ordinateur comme convertisseur analogique-numérique ou numérique-analogique, selon que vous êtes en réception ou en émission. C'est un logiciel 32-bits partageant l'utilisation du processeur avec d'autres logiciels 32 bits. Il est donc possible d'utiliser un traitement de texte, de surfer sur le web et de faire d'autres choses tout en recevant des images SSTV en même temps. Les limites sont, bien sûr, la vitesse de votre ordinateur, la quantité de mémoire disponible et votre imagination.

Caractéristiques:

Configuration informatique nécessaire:
PC compatible IBM avec Windows 95 ou Windows NT (3.51 ou supérieur), carte son compatible Sound Blaster.
W95SSTV est un logiciel shareware.

 

Chromapix (par Jim Barber N7CXI et William Montgomery VE3EC)

ChromaPIX (CPIX) est une approche nouvelle de "station de travail" en télévision à balayage lent. Le programme est une application totale en "32" bits sous Windows 95 /98 ou Windows NT 4 qui couple des panneaux frontaux multiples à une "machine SSTV virtuelle" qui est basée sur ce qui se fait de mieux en technologie de DSP (traitement digital des signaux). Le système DSP peut traiter des images SSTV à pratiquement la limite théorique des spécifications pour ces signaux. Les multiples panneaux interfaces utilisateurs, procurent un outil sophistiqué pour la composition ou le traitement des images.

Points marquants du système

DSPVM (Machine virtuelle)

 

· La détection de signaux analogiques procure des performances supérieures par rapport aux détecteurs FM "hard limited" en permettant de récupérer les fréquences sous-porteuses.

· Des filtres digitaux ajustables vous permettent d'ajuster la machine virtuelle aux variations locales du signal.

· Le DSP VM fonctionne en permanence pour afficher le spectre des signaux reçus, le mesureur d'accord, le système de démarrage automatique, basé sur la détection du code VIS ou la récupération de la synchronisation.

 

Interface utilisateur

 

· Des panneaux frontaux multiples permettent l'accès à la machine virtuelle. Utilisez un panneau pour recevoir ou transmettre des images pendant que vous chargez, composez ou sauvegardez des images sur d'autres panneaux.

· La plupart des opérations sur les images sont basées sur des "drag and drop" (déplacer et déposer) ou sur un simple clic de souris. On peut rapidement accéder à tous les contrôles grâce à des boutons de commande puissants sur les tableaux de contrôles.

 

· Le traitement des images comprend le réglage de la luminosité, contraste, teinte, saturation, et netteté. Des filtres médians et moyens peuvent être ajoutés pour éliminer rapidement du bruit sur les images reçues.

· Des opérations de peinture comprennent les fonctions les plus courantes ainsi que des fonctions de traitement des ombres qui rendent les images plus réalistes.

· Une boîte à outils d'effets spéciaux est aussi inclue.

· Le stockage des images sur disque est effectué au moyen d'un catalogue de petites images qui permet une visualisation préalable des fichiers de votre disque aussi bien qu'un déplacement instantané à partir de vos répertoires préférés. Le chargement de cadres, d'effets spéciaux et de déplacement d'une photo se fait en un clin d'œil. Un diaporama intégré vous fait défiler votre collection d'images.

Système requis

· Pentium 90 ou plus (il peut fonctionner sur des systèmes plus lents, mais ceci n'est pas recommandé )

· 16 MB de RAM. ( Comme dans tout logiciel de traitement d'images " VAUT MIEUX UN PEU PLUS"

· Carte vidéo TrueColor (16, 24 ou 32 bits) (les cartes 256 couleurs sont supportées avec un rendement moyen)

· Carte son 16 Bits contrôlée par quartz, avec les pilotes appropriés

· Windows 95/98 ou WindowsNT

Mon avis sur ce logiciel c'est celui que j'utilise en rx el il me donne des résultats plus que correct

Pour télécharger le logiciel c'est par ici : (http://www.siliconpixels.com) à savoir que la version de démo est complète mais ne fonctionne que 30 minutes après il faut relancer le pc pour repartir !!.Ou payer le droit de licence du programme qui est assez cher (120 dollards )

On peu l'acheter ègalement en Françe auprés du TBL CLUB à l'adresse suivante :

TBL CLUB

Rue du bas

70120 LA ROCHE MOREY FRANCE

Tel/Fax : 0384910455

ou en passant directement par son site :url: http://members.aol.com/tblclub

On peut payer directement par carte bancaire (c'est sécurisé !!)On y trouve également d'autres logiciels comme gshpc ,win95sstv ect ...

 

Winpix Pro (par Don Rotier K0HEO)

Winpix Pro fait également partie des logiciels utilisant la carte son comme interface.

Caractéristiques:

Configuration informatique nécessaire:
PC compatible IBM DX/33Mhz avec 8 MB de RAM, Windows 3.1x ou Windows 95, carte son compatible Windows.

Sound Blaster SSTV (par Harlan Technologies)

Logiciel SSTV pour toute carte son compatible Sound Blaster.

Caractéristiques:

Configuration informatique nécessaire:
PC compatible IBM 286 ou supérieur avec 640K de mémoire, 5MB de disque dur pour la sauvegarde des images, carte graphique 640x480 256 couleurs avec 512K de mémoire, carte son compatible Sound Blaster.
Sound Blaster SSTV est un logiciel shareware.

HARLAN TECHNOLOGICS
5931 ALMA DR.
ROCKFORD, ILLINOUS
61108
815-398-2683

Considérations techniques

Principes de base de la transmission d'images

Le mode SSTV cherche dans un premier temps à décomposer l’image sélectionnée pour pouvoir la transmettre au moyen d’un canal de transmission (les ondes radio) et la reconstituer à l’autre extrémité sous sa forme primitive. Etant donné qu’un tel canal ne permet de transmettre qu’un phénomène variant dans le temps, la structure spatiale de l’image doit tout d’abord être convertie en une structure répartie dans le temps et ensuite reconvertie. Cette opération est effectuée par le balayage ligne par ligne de l’image, comme si l’image était découpée en un certain nombre de petites bandes étroites, puis en points (cf. Fig 1), dont la variation de la luminosité est transmise successivement et reconstituée de l’autre côté en lignes complètes. Pour ne pas perdre la richesse des détails d’une image, il faut que cette dernière soit décomposée en un nombre de lignes aussi grand que possible et que chaque ligne compte le plus grand nombre possible de points d’image. Mais plus cette décomposition est grande, plus grandes seront les exigences auxquelles devra satisfaire le canal de transmission. En général, dans le domaine de la SSTV assistée par ordinateur, le pixel est utilisé comme unité de décomposition.


Figure 1. Décomposition d'une image en points

De l'image à la radio et vice-versa

L’étape suivante consiste à coder les unités de décomposition de l’image de telle sorte qu’elles puissent être émises par le transceiver les unes à la suite des autres. Le système de codage utilisé est d’une simplicité étonnante: dans le cas du protocole SSTV 8 secondes noir/blanc utilisé lors des débuts de la SSTV en 1958, on fait correspondre à la couleur noire une fréquence de 1500 Hz, à la couleur blanche la fréquence de 2300 Hz, tous les niveaux de gris se partageant les fréquences comprises entre ces deux bornes (cf. Fig 2)! Le système “balaye” alors l’image pixel après pixel et, au travers du modem, envoie au transceiver les fréquences correspondantes les unes après les autres, d’où les sonorités étranges d’une transmission SSTV! A la réception, le transceiver recueille séquentiellement les différentes fréquences et les transmet à l’ordinateur au travers du modem. Chaque fréquence est reconvertie en niveau de gris et est affichée sur l’écran de la station réceptrice.

 
Figure 2. Codage de la première ligne de la figure 1.

En plus des pixels, le protocole code également des événements importants, à savoir le début de la transmission de l’image, ainsi que la fin de chacune des lignes balayée. Dans le mode SSTV 8 secondes noir/blanc étudié, le début de transmission correspond à une fréquence de 1200 Hz transmise pendant exactement 30 ms. A la réception de ce signal (appelé signal de syncronisation verticale), l’ordinateur de la station réceptrice se prépare à recevoir l’image proprement dite. Ensuite, à la fin de chaque ligne balayée, le système émetteur envoie un signal de 1200 Hz pendant exactement 5 ms. A la réception de ce signal (appelé signal de synchronisation horizontale), l’ordinateur de la station réceptrice “comprend” qu’il est temps de passer à la ligne suivante. Ce principe évite au récepteur de recevoir des images complètement de travers!

Du noir/blanc à la couleur

Il va sans dire que les protocoles actuels (Robot, Wraase, Martin, Scottie,...) codent plus volontiers les couleurs que les niveaux de gris. Techniquement, le principe n’est guère plus compliqué: la couleur est transmise par trois balayages successifs, le premier pour le rouge, le second pour le vert et le dernier pour le bleu, selon le principe de composition RGB (Red Green Blue) des couleurs. Le protocole Robot se différencie quelque peu des autres sur ce point, codant les couleurs selon les principes de luminance et de chrominance, plutôt que selon le système RGB.

Les protocoles

L’échange de données entre plusieurs ordinateurs n’est possible que si toutes les machines respectent des prescriptions et des conventions déterminées. Celles-ci couvrent toute une série de facteurs tels que le code, le système de synchronisation, la vitesse de transmission, la détection d’erreur, etc. Ces conventions ou règles sont appelées procédures de transmission, ou encore protocoles. Les protocoles de transmission SSTV peuvent raisonnablement être groupés en cinq groupes:

Robot
développé avec la gamme d’interfaces SSTV Robot (Californie)
Wraase
développé avec la gamme d’interfaces Wraase (Allemagne)
Martin
développé par l’Anglais Martin Emmerson G3OQD
Scottie
développé par l’Ecossais Eddie Murphy GM3BSC
AVT
développé par Ben Blish-Williams AA7AS avec la gamme d’interfaces SSTV AVT (Montana)

Les modes Wraase, Martin et Scottie présentent beaucoup de similitudes quant aux fréquences de codage et de synchronisation. Ils nécessitent par contre des vitesses de transmission différentes. De manière générale, la qualité de l’image est proportionnelle au temps nécessaire pour la transmission. Le mode Scottie DX, par exemple, spécialisé dans les transmissions longues distances, demande un temps de transmission très important (4’48”).
Outre un codage des couleurs différents, le protocole Robot utilise une séquence de synchronisation verticale plus longue, contenant 7 bits d’information et un bit de parité. Ce système permet une identification automatique du format de l’image transmise, ce qui, pour les systèmes qui reconnaissent ce principe de codage, évite une sélection manuelle du protocole.
Les protocoles AVT (Amiga Video Transceiver) sont, pour leur part, radicalement différents. Ils n’utilisent pas de fréquence de synchronisation horizontale mais se basent sur un système “d’en-tête” digital pour éviter que l’image ne soit reçue avec un décalage. (Le principe de codage des protocoles AVT dépasse le cadre de ce document)
Les OMs d’Amérique du Nord apprécient énormément le protocole Scottie S1 (80% des images sont envoyées dans ce mode). Les 20% restants étant répartis entre les protocoles Scottie S2, Martin M1, Robot 36 et 72.
Les OMs du Japon préfèrent les protocoles Robot et AVT.
En Europe, enfin, le 95% du trafic SSTV est effectué à l’aide du protocole Martin M1.

 

 

Fréquences générales

FAX

144.700 MHz

432.700 MHz

433.700 MHz

1296.700 MHz

SSTV

144.500 MHz

432.500 MHz

433.400 MHz

1296.500 MHz

SSTV/FAX

3.730 - 3.740 MHz

7.035 - 7.040 MHz

14.225 - 14.235 MHz

21.335 - 21.345 MHz

28.675 - 28.685 MHz

Rappel :Pour passer en émission sur les bandes ci-dessus il faut posséder une license !!!

Activitée SSTV CB sur 27.700 MHZ

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